Vous aimez sans doute vous y prélasser, accompagné d’un bon café. Elle vous fait peut-être sourire, grimacer, grincer des dents ou pire, verser une petite larme. Bref, cette plage, vous l’aimez, vous l’attendez chaque matin. Ce petit coin de bonheur, cet espace de créativité où l’imagination n’a pas de limite: la plage de vie faire partie de l’ADN de La Liberté. Elle a vu le jour le 25 mai 1999, lors de l’introduction d’une nouvelle formule graphique. Sauf que ce n’était pas une plage à cette époque. C’était une «tranche de vie». Cela a duré deux jours, avant qu’elle ne se transforme définitivement en plage, plus propice à l’évasion et à la poésie. Et depuis, les aventures, anecdotes, petits malheurs et grands bonheurs y défilent en première page et en 1000 signes. Des histoires racontées par les membres de la rédaction élargie qui n’ont aucune obligation de coucher sur le sable, même brûlant, leur vie trépidante.
Encore que… Car selon les périodes de l’année, la plage est un lieu moins fréquenté. Le rédacteur en chef doit, dès lors, redoubler d’efforts et de ruse pour motiver les journalistes à s’y installer. Les «appels» aux plages de vie sont donc relativement récurrents. Et lorsque cela ne suffit pas, Serge Gumy a eu cette idée: élaborer un calendrier des plages de vie. De quoi assurer une bonne fréquentation durant quelques semaines. Au fait, peut-on tout dire sur la plage? En théorie, oui. Dans la pratique, ça dépend. Le rédacteur en chef veille au grain, mais il est rare qu’une histoire soit refusée. Les exploits des enfants, les récits de voyages et autres blagues potaches squattent une grande partie de la plage, qui a même droit, parfois, à des plages de vie sur elle. Une star, incontournable!